Eloge des philosophies de la "différence"

« Il nous faut encore beaucoup travailler sur nous mêmes. Car, s’il est évident que tous les pays du monde « développé », occidentaux et asiatiques confondus, comptent sur les ressources du continent noir pour maintenir leur croissance économique et leur assurer une transition écologique douce, sur qui et sur quoi, nous autres Africains comptons nous pour simplement survivre et nous assurer une descendance orthodoxe ? » Voilà, pourquoi l’auteur, face à la persistance du mercantilisme qui est le principal vecteur de la prédation, a ressenti l’urgence de sonner à nouveau le tocsin en vue d’un réveil collectif des Africains ; afin que soient mobilisées toutes les intelligences disponibles, au service d’une audace épistémologique nouvelle, en vue du progrès.